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Le 01 juillet 2019

Dans le vaste champ de l’économie numérique : des plantes sauvages, de mauvaises graines et de robustes pousses dans cet herbier.

 Source : «  Les marques souffrent de la baisse de leur reach sur Facebook.

Pour chaque fanpage, le taux d’engagement est unique.

Autrement dit, il représente le nombre d’individus uniques dédupliqués ayant eu au minimum une interaction (like, commentaire ou post) avec la fanpage sur la période étudiée, rapporté sur le nombre total de fans.

La répétition est, elle, définie comme le nombre d’interactions sur la période par utilisateur unique ».

Nicolas Jaimes, JDN 08/10/13

 

Biotope : les réseaux sociaux.

 

Croissance : aussi longtemps que Facebook et consorts vivront…

 

Remarque : à l’usage des RH, un employé qui affiche un fort taux d’engagement -à contenu positif- envers les produits et services de son employeur constitue un signe positif et mériterait même contrepartie pour une activité se déroulant pourtant dans un périmètre autre que professionnel.

 

A l’opposé, un taux d’engagement tout aussi élevé voire plus élevé vers un concurrent direct de son employeur fait naître une inquiétude légitime.

De là à parler de campagne systématique de dénigrement indirect de son employeur via ses produits et services par vengeance de ne pas avoir obtenu une promotion.

 

L’idée d’engagement tend à se répandre : « les systèmes d’engagement » font partie du déjà très riche lexique des NTIC.

« Les systèmes d’engagement exigent de nouvelles solutions d’intégration et une nouvelle IT. Les applications mobiles et autres « systèmes d’engagement » sont essentiels pour répondre aux attentes des clients. Mais qui va fournir des systèmes d’engagement, et comment ?

En Janvier 2013, IBM a chargé Forrester Consulting de se pencher sur cette question ».